Autre dialogue – Maxime le Forestier
Auteur : Aunryz
En fuite à la lisière du possible.
La Belle Dame Sans Regrets – Sting
«What a wonderfull word» – Luis Armstrong
Une chanson écrite par Bob Thiele et George David Weiss
Emprunt de la photographie à Marie-Christine Grimard
Paroles françaises
J’aperçois des arbres verts
Des roses rouges également
Je les vois s’épanouir
Pour toi et moi
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
Je vois des cieux bleus
Et de blancs nuages
L’éclatant jour béni
La sombre nuit sacrée
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
Les couleurs de l’arc-en-ciel
Si jolies dans le ciel
Sont aussi sur les visages
Des passants
Je vois des amis se serrer la main
Se dire « comment vas-tu »
En réalité ils se disent « je t’aime »
J’entends des bébés pleurer
Je les vois grandir
Ils apprendront bien plus
Que je n’en saurai jamais
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
«Sous les ponts de Paris» – Lucienne Delyle
[Paroles de Jean Rodor, musique de Vincent Scotto. ]
La réalité c’est ce que voient tes yeux
sous les lumières de ton époque.
» …
Si l´on aidait un peu, tous les vrais miséreux
Plus de suicides ni de crimes dans la nuit
Sous les ponts de Paris. »
(crédit Photo : René Taesch « Portrait de groupe avant démolition« )
«Paris» – Yael Naim
Bien sur,
le Paris qu’évoque Yael Naim
n’est pas le Paris de nos
samedi troublés par la colère
Mais ce Paris là reviendra.
«La complainte de la butte» – Mouloudji
Paroles de Jean Renoir et musique de Georges van Parys.
(Écrite pour le film French Cancan)
De nos jours, les escaliers de toutes sortes sont très nombreux
(ceux l’ascension sociale de plus en plus raide … et l’ascenseur en panne)
et les moulins de plus en plus rares.
Pauvres amoureux !
«Monsieur Tout Blanc» – Léo Ferré
La charité ? La réponse à la misère ?
Pendant c’ temps-là moi j’ vis à …
… Pour briffer faut bosser mon p’tit père
«Imagine» – John Lennon
Un besoin urgent – en ces temps de révolte sans horizon… –
l’espoir que John Lennon distille dans sa chanson.
(Non le haut-parleur n’est pas hors service … le silence du début est voulu
il est une transition entre deux mondes)
Rassure le … il n’est pas le seul ??!
«Comme un arbre dans la ville» – Maxime le Forestier
Un appel à la révolte ?
Cette chanson qui évoque l’arbre, les barricades et l’embrasement résonne dans l’actualité marquée par un jaune qui n’est pas seulement celui des feuilles d’automne.
Depuis le temps où Maxime à écrit cette chanson les arbres ont souffert un peu partout.
Les platanes le long du canal du midi
Les palmiers sur la côte d’azur (et dans tout le bassin méditerranéen)
Les oliviers de cette maladie venue d’Amérique du sud et qui s’étend à partir des Pouilles italiennes et qui touche à présent la Corse
Les buis ravagés par la pyrale
Mais aussi dans toutes les villes où sur les places les arbres du « pays » ont été coupés pour créer des espaces polyvalents pouvant accueillir « Le marché de Noël » en décembre, « Les palmiers en pot » au printemps et « Les plages artificielles » au moment du tourisme d’été.
… arbre dans la ville
Si l’arbre dans la ville est souvent malheureux
L’inverse pourrait produire du bonheur
«Wot’s … Uh The Deal» – Pink Floyd
Le groupe Pink Floyd a composé l’album « Obscured by cloud » (Masqué par les nuage) pour le film « La vallée » (de Barbet Schroeder) film qui aura beaucoup moins de succès que le disque.
Paroles extraites de la chanson «Wot’s … Uh The Deal»
Ce chemin, ils l’ont fait et sans (apparemment) se presser … et sont arrivés à l’heure
… perdant en route Syd Barrett … puis Richard Wright .
A noter l’édition récente (Chez Publie.net) du livre de Benoit Vincent, consacré au groupe et dont le titre est « Un de ces jours — Pink Floyd, une fiction »
[La présentation :] « Ils sont quatre, issus de différentes réalités, et ensemble ils vont révolutionner un genre : leur album phare The Dark Side of the Moon en 1973 est un moment de bascule dans l’histoire du rock. Peut-être le début de la fin ? Car rien ne sera plus jamais comme avant après cet opus. Deuxième volet d’une série de fictions sur le rock initiée avec Local héros (2017, réédition 2018), Un de ces jours est une plongée dans le bouillonnement collectif et les zones d’ombre d’un groupe devenu culte. »
Dépêche toi … tu vas louper ton train
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