« Jusqu´à c´que les hommes aient retrouvé
L´amour et la fraternité…. »




Une chanson écrite par Bob Thiele et George David Weiss
Emprunt de la photographie à Marie-Christine Grimard
J’aperçois des arbres verts
Des roses rouges également
Je les vois s’épanouir
Pour toi et moi
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
Je vois des cieux bleus
Et de blancs nuages
L’éclatant jour béni
La sombre nuit sacrée
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
Les couleurs de l’arc-en-ciel
Si jolies dans le ciel
Sont aussi sur les visages
Des passants
Je vois des amis se serrer la main
Se dire « comment vas-tu »
En réalité ils se disent « je t’aime »
J’entends des bébés pleurer
Je les vois grandir
Ils apprendront bien plus
Que je n’en saurai jamais
Et je me dis tout bas
Quel monde merveilleux
[Paroles de Jean Rodor, musique de Vincent Scotto. ]
La réalité c’est ce que voient tes yeux
sous les lumières de ton époque.
(crédit Photo : René Taesch « Portrait de groupe avant démolition« )
Bien sur,
le Paris qu’évoque Yael Naim
n’est pas le Paris de nos
samedi troublés par la colère
Mais ce Paris là reviendra.
Paroles de Jean Renoir et musique de Georges van Parys.
(Écrite pour le film French Cancan)
De nos jours, les escaliers de toutes sortes sont très nombreux
(ceux l’ascension sociale de plus en plus raide … et l’ascenseur en panne)
et les moulins de plus en plus rares.
Pauvres amoureux !
La charité ? La réponse à la misère ?

Un besoin urgent – en ces temps de révolte sans horizon… –
l’espoir que John Lennon distille dans sa chanson.
(Non le haut-parleur n’est pas hors service … le silence du début est voulu
il est une transition entre deux mondes)
Rassure le … il n’est pas le seul ??!